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Série : 24
Création : 14.07.2009 à 17h22
Auteur : cindy1
Statut : Terminée
« Suite de Jack avant.. et d'Alexis Drezen. Je préfère écrire seule, merci! » cindy1
Cette fanfic compte déjà 83 paragraphes
Du Côté de Cindy:
Cindy: Ca va encore, ce n'est pas encore trop dur.
Alexis: Tu peux nous aider?
C: Oui.
Après quelques minutes.
C: Alexis...
A: Oui.
C: Je voudrais deux choses.
A: Oui.
C: La première je voudrais savoir pourquoi tu as tué le gars qui étiat avec moi.
A: Ce n'était qu'un déchet humain, qui profitait de ta faiblesse actuelle.
C: Vu comme ça. La deuxième chose.
A: Je t'écoute.
C: C'est toi qui a tué mon frère?
A: Non, ce n'est pas moi.
C: C'est qui?
A: Tu va le tuer si je te le dis?
C: Peut-être, peut-être pas.
A: Je ne peux pas prendre le risque.
C: Tu sais, Alexis, il parait que je peux être très méchante quand je le veux.
A: Je sais, j'ai lu ton dossier.
C: Alors?
A: C'est mon frère.
C: Ah...
A: Tu vas le tuer?
C: Oui.
A: Pourquoi?
C: Parce que. Et après, toi tu va me tuer ou pas?
A: Oui.
C: Et bien on sera quitte, comme ça.
A: Et tu crois que ce sera une solution?
C: Non, mais au moins ça me soulagera.
A: Tu crois?
C: Oui.
A: Moi je ne crois pas. Mais je te tuerais si tu le fais. Pour le venger, pour l'honneur.
C: Je m'en fous.
A: Et Jack?
C: Je m'en fous.
A: Et ta fille?
C: Ecoute, elle va apprendre un jour que sa mère n'était qu'un déchet humain. Ce sera mieux pour elle, si je suis morte.
A: En fait, ce que tu cherche, c'est à mourir.
C: Oui.
A: Alors tues-toi.
C: Non.
A: Pourquoi?
C: Ca ne te regarde pas. Ne me reproche pas ma conduite, il ne fallait pas que tu bousille ma vie.
A: Pourquoi tu n'essaye pas de repartir plutôt?
C, en lui criant dessus: Tu crois que je peux? Tu crois vraiment que je peux me refaire une vie avec ce que tu m'a fait? Sincèrement, tu crois que vraiment que je peux me remettre à embrasser un mec avec autre souvenir que toi? Tu crois vraiment que je peux encore aimer la vie alors que tu a rendu la mienne en véritable en fer?
A: Arrête de te faire du mal, ce n'est pas plus compliqué que ça. Arrête. Essaie d'être heureuse. Je sais que ce n'est pas possible de repartir complètement mais en s'accrochant, tout est possible.
C: Désolé que ce ne soit pas aussi simple que ça pour moi.
A: Je ne dis pas que ce doit être simple mais la vie est comme ça.
C: Pourquoi je ne te hais pas?
A: Quoi?
C: Pourquoi je ne te hais pas?
A: Certaines personnes traumatisées développe ce qu'on appelle un syndrome de Stokhlom, ce qui signifie qu'elle éprouve de la sympathie pour une personne qui lui a fait énormement de mal.
C: Ca se soigne?
A: Non, mais tu sais, me haïr ne t'aiderait pas.
C: Qu'est ce que tu en sais?
A: Crois-!oi, j'ai déjà été dans ton cas. Je sais que ça n'aide pas du tout...
Dans le fond Cindy éprouvait de la pitié pour lui.
Toutefois, elle ne pouvait pas lui faire confiance, pas après ce qu'il lui avait fait.
De plus sur le moment ,elle commençait vraiment à se sentir mal. Son manque ne faisait qu'augmenter et sa nervosité également.
Elle sentait chacun de ses muscles lui tiré atrocement et elle sentait son coeur qui battait beaucoup trop vite. Elle essayait de réguler son rythme cardiaque en respirant le plus lentement possible mais elle n'y arrivait pas.
A: Cindy, ça va ?
C: oui.
A: Cindy, arrête de mentir? Tu est en train d'entrer en crise de manque.
C: Oui...
A: Je vais te dire une chose. Jack te recherche en ce moment, tu crois vraiment qu'il tiendrait le coup si tu mourrait à cause de la drogue.
C: Je ne sais pas.
A: Tu veux une dose?
C: J'ai cru tu étais dans la légalité.
A: Et alors? Tu veux une dose oui ou non.
C: Oui.
A: Ok.
Alexis repartit et alla lui chercher de quoi se la préparer.
A: Ok, je te la donne à une seule condition.
C: Laquelle?
A: Débrouille toi pour te la préparer.
C: Je ne peux pas, je tremble.
A: Et bien alors tu ne l'as pas.
C: S'il te plait. Je ne peux pas le faire....
A:Non hors de question, tu te la fais où tu ne te drogue pas.
C: Je n'ai pas la force de la faire...s'il te plait...fais le..
A: Non. Débrouille toi!!
C: Je ne peux pas. Si tu ne le fais pas, je vais mourir.
A: D'une crise de manque? Tu te fous de moi.
C: Non.
A: Non, tu ne mourras pas.
C: Si, s'il te plait.
Elle commençait à avoir la tête qui tournait, et elle avait du mal à tenir debout.Elle savait très bien qu'elle ne mourrait pas.
D'un certain côté elle en avait peut-être envie de mourir. Elle n'avait plus Jack et commençait à se poser des quetions sur sa santé mentale.
Elle était en train de discuter avec une personne qui lui avait bousillé sa vie, comme ça, comme si de rien n'était.
Et soudain elle craqua, elle leva l'arme d'Alexis:
C: Où est ton frère?
A: Quoi?
C: Où est ton frère, je viens de te demander où était ton frère?
A: Je ne sais pas.
C: Appelle le!!
A: Non.
C: Appelle le!!
A: Tu crois que tu me fais peur, dans cet état là!!
C: Tu ne sais pas de quoi je peux être capable!!
A: Tu veux rire, dans cet état!
C: Où est ton frère?
A: A coté...
C:Bien on va y aller les deux.
A: Tu crois que tu vas tenir jusque dans la pièce d'à côté.
C: Mais ferme la, ferme la ou je te bute.
A: Ok, on y va.
C: Bien, et fais gaffe à ne pas faire de bêtises.
A: Ok, ok. Dis tu sais que Jack va arriver d'une minute à l'autre.
C: Tu me mens!
A: Non il te cherche et je l'ai fait venir. Je n'avais pas l'intention de te faire du mal ou de te tuer donc je lui ai dit de venir.
C: Tu me raconte n'importe quoi. Maintenant on va voir ton frère.
A: Non je ne te mens pas.
C: Je viens de dire qu'on allait dans la pièce d'à côté voir ton frère.
A: Ok, OK.
A ce moment Jack arriva avec Antonio l'arme au poing car ils n'avaient absolument pas confiance en Alexis.
Jack: Cindy, arrête ça.
C: Toi tu dégages!
J: Il est en hors de question. Cindy, pose ton arme.
C: Sors d'ici.
J: Hors de question. Antonio, baisses ton arme.
Antonio: Tu est sûr?
J: Oui, baisses ton arme.
C: Sors d'ici Jack.
J: Hors de question.
C: Alexis on sort, on va voir ton frère.
A: Ok.
Mais à ce moment là le frère d'Alexis, Andre, qui avait été alerté par le bruit arriva l'arme à la main dans la pièce.
Andre: Cindy, ça fait longtemps.
Antonio reprit son arme.
Cindy: Oui ça fait longtemps.
Andre: Ton frère ne te manque pas trop?
Antonio savait qu'il allait se passer quelque chose mais il n'arrivait pas à savoir quoi. Si quelqu'un ouvrait le feu dans cette pièce ça allait tourner à la tuerie. Et pour l'instant il ne savait pas trop qui était la personne la plus dangereuse. Lui tenait en joue Alexis, qui l'était également par Cindy. Jack tenait en joue Andre qui lui avait mis Cindy dans sa ligne de tir.
Cindy: Si, il me manque. Mais tais-toi, tu n'as pas le droit d'en parler.
Andre: C'est vrai que ça a du te faire mal quand tu l'a vu mourir. Mais visiblemnet tu préfère en parler avec mon frère.
Cindy: Tais-toi.
Andre: Il te manque à ce point-là?
Alexis: Tais-toi.
Andre: OK! OK! Bon allez Cindy si je te dis que je suis désolé, ça te va?
Cindy: Non, il va m'en falloir plus.
Andre: Je te laisse mon frère si tu veux!!! Ah non, c'est vrai que vous ne vous en tendez pas trop les deux il parait.
Cindy: Andre?
Andre: Oui, ma puce.
Cindy: Tu sais quoi?
Antonio savait qu'elle n'allait pas tenir psychologiquement le coup très longtemps à ce petit jeu mais là il ne pouvait pas vraiment intervenir sans déclencher un massacre.
Antonio: Cindy?
Cindy: Tu sais quoi Andre?
Andre: Je crois qu'il t'a parlé.
Cindy: Je m'en fiche. C'est à toi que je parle.
Andre: Tu crois que tu me fais peur. Tu n'est pas retourné sur le terrain depuis que Jack t'a remmené je ne me trompe pas?
Cindy: Non tu ne te trompe pas.
Andre: Donc je suis beaucoup plus rapide que toi. Donc si tu essaie de me tuer, c'est peine perdue.
Cindy: Tu as déjà perdu quelqu'un à qui tu tenait?
Andre: Oui, mais bon quoi, tu veux me jouer la pauvre fille éplorée par la mort de ton frère?
Cindy: Non.
Andre: Alors quoi?
Cindy: Je vais faire mieux.
Andre: Quoi?
A ce moment précis, Cindy tira sans que personne n'eut le temps de réagir. Mais contre toute attente ce n'est pas Andre qu'elle tua mais Alexis. Il tomba à terre, une balle dans le ventre et commença à se vider de son sang. Dans la même seconde Jack et Antonio tirèrent. Jack, toucha Andre d'une balle dans le cou et celui-ci tomba. Antonio lui toucha Cindy d'une balle dans la cuisse puis d'une balle dans l'épaule.
Jack: Mais qu'est ce que tu fais, tu est fou.
Antonio: Elle était en train de se retourner l'arme contre elle.
Jack alla vers Cindy et jeta un coup d'oeil à ses blessures. Celle de l'épaule n'était pas grave. Par contre la balle qui lui avait touché la cuisse avait touchée l'artère et elle se vidait.
Jack: Antonio, vient m'aider.
Antonio: J'arrive.
Jack: Vite il faut faire un garrot.
A: Ok.
J: T'inquiètes ma puce, on va s'occuper de toi. Tiens le coup.
C: Désolée.
J: Tu n'as pas à t'excuser.
Durant les quelques minutes suivantes les deux hommes firent un garrot et ils réussirent à arrêter l'hémorragie.
Cindy: Il est mort?
Jack: Qui?
C: Alexis.
J: Oui.
Dans la même seconde où il dit ça, il vit le regard de Cindy complètement changer. Elle se mit à avoir une lueur de peur et de panique dans les yeux. Il ne comprit pas sur le moment pourquoi. Quand il comprit c'était trop tard. Il y eut un coup de feu et il sentit une très forte douleur dans son dos. Il tomba en arrière.
Antonio était à l'extérieur quand il entendit le coup de feu. Il fila vers la maison.
Cindy: Andre....
Andre: Ton mec n'aura même pas été capable de me tuer. Tu a tuée mon frère. Je devrais te tuer. Je ne sais pas si je le fais. D'un côté je pourrais te faire payer ce que tu as fait à mon frère. C'est à voir. J'ai l'impression que tu ne te sens pas très bien. Qu'est ce qui se passe? Tu as perrdu beaucuop de sang?
Cindy: Oui....
Andre: Tu as mal?
Comme Cindy ne lui répondit pas, il prit cela pour une provocation, mit sa jambe sur sa jambe blessée et laissa appuyer tout son poids. Elle se mit à hurler.
Andre: Je n'aime pas qu'on ne me réponde pas. Alors je répète, est ce que tu as mal?
Cindy: Oui j'ai mal, arrête s'il te plaît.
Mais il n'arrêta pas, il continua de s'appuyer sur elle.
